Récemment, Marie-Thérèse a vu un reportage à la télévision, qui l'a ulcérée. Le sujet abordait le problème des spectacles de rapaces, considérés par plusieurs associations de défense des animaux, comme nuisibles au bien-être des oiseaux. Pour Marie-Thérèse, l'Homme a parfois tendance à se focaliser sur le bien-être animal, au détriment du bien-être des êtres humains. Voici sa contribution.
"Je souhaite intervenir sur l'information selon laquelle les rapaces seraient "maltraités" lors des spectacles. Elle me donne à réfléchir. Je trouve que l'on fait beaucoup de battage sur la protection de certains animaux, dont les rapaces, qui sont surement bien mieux que dans la nature car ils sont choyés par leur dresseur, et que tout cela détourne le plus souvent l'attention des réelles informations concernant les "gens".
Quitte à être traitée de "démago" qui semble être une insulte suprême, ces "protecteurs" mettraient-ils autant d'énergie à la protection et la sauvegarde de leurs semblables. Des reines abeilles sont mortes pendant l'hiver, soit, combien de personnes ont-elles succombé?
Toutes ces infos me semblent focaliser l'attention des téléspectateurs en utilisant leur SENSIBLERIE et détournent leur EMPATHIE. Et il semble que c'est efficace.
La nature est notre mère et il est important d'y être attentifs, mais je trouve que nos semblables humains en valent sûrement et surtout plus la peine. J'adore les animaux et les ai toujours traités plus que correctement, mais la plus grande part de mon énergie va vers les humains, n'en déplaise aux protecteurs des faucons, les vrais en valent aussi la peine!"
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