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Les acheteurs des enchères au profit du Télévie (INTERVIEW)

Les acheteurs des enchères au profit du Télévie (INTERVIEW)
 
 

C’est grâce à l’investissement général ainsi qu’aux donateurs et acheteurs des enchères que le Télévie continue d’exister. En l’honneur de la 26ème édition du Télévie, nous vous proposons des témoignages de deux acheteurs investis pour la cause.

Quelles sont vos motivations à l’égard du Télévie ?

"Cette action, pour moi, reflète un grand sens du partage, d’échanges et d’écoutes. Ce qui de nos jours est rare ! Ce n’est que du plaisir de participer à une action qui donne ou redonne courage et espérance à beaucoup de gens. L’objet quant à lui est là pour rappeler à toute personne qui le voit que le Télévie existe et qu’il a besoin de l’aide et du soutien de chacun, petit ou grand." Jean-Luc de Namur

"Mes motivations sont simples : mon fils a eu le cancer en 2006. Il a été suivi pendant deux ans avant de faire une rechute.Mon fils a émis le souhait que je soutienne le Télévie, c'était et c'est toujours très important pour lui, chose facile à comprendre vu sa maladie. L'objet est la trace physique du don, c’est le souvenir." Philippe de Grez-Doiceau


Depuis combien de temps participez-vous d’une manière ou d’une autre à l’action Télévie ?

"Depuis le début, avec le petit Bichon qui s’est battu contre la maladie malgré son jeune âge. Par la suite, j’ai continué de participer pour que le FNRS puisse avancer dans la recherche contre la leucémie qui conduit également à des découvertes dans bien d’autres domaines dont on ne peut imaginer les retombées pour toutes et tous. " Jean-Luc de Namur

"Je participe depuis 2008, le choix de l'article se fait d’un commun accord avec mon fils. " Philippe de Grey-Doiceau
 


Avez-vous exposé l’objet chez vous ?

"Certains sont toujours dans l’attente d’une place éventuelle, et pour les autres ils sont ici ou là. S’ils doivent être montrés,  c’est toujours avec l’idée de parler du Télévie et rallier ainsi, nous l’espérons, les personnes à cet élan de générosité. Le 1er objet était un cadeau pour mon épouse, un gage d’amour et les autres, c’était selon l’humeur ou la somme que nous  pouvons y consacrer. " Jean-Luc de Namur

"Les objets sont exposés à la maison à l'exception du cœur réalisé en cannettes que nous avons offert à la clinique Saint-Luc (clinique qui suit mon fils) et qui trône dans la vitrine du hall d'entrée." Philippe de Grey-Doiceau



 

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